lundi 25 mai 2015

QUELLE POLITIQUE POUR LA PETITE ENFANCE


Avec l'arrivé de nouvelles populations émerge de nouveaux besoins. Déjà de nombreux enfants vivent à SALINDRES, c’est un enjeu pour la vie sociale de notre commune de développer  les activités liées à l’enfance. La satisfaction de ces besoins contribuera à l’attractivité de notre territoire.
Comment répondre à ces  demandes doit être une préoccupation de tous.
Déjà grâce à la politique menée par la municipalité et plus particulièrement par la commission Enfance-Jeunesse/Centre Sociale et  la commission Ecole de nombreuses ressources existent déjà.
Pour ne citer que : aux niveaux des animations socioculturelles , Le Centre de Loisir ; au niveau du secteur sportif , les nombreuses associations de la commune ; pour les animations culturelles ,la bibliothèque et l’école de musique ; au niveau scolaire , les écoles
Bien sur il reste encore des progrès à faire et la perspective de voir la création d’une crèche est encourageante.
Pour permettre cette mise en place une réflexion de tous les acteurs serait souhaitable.  Déjà  de nombreuses communes ont élaborées des Contrats éducatif locaux (C.E.L.) ou des Projets Educatifs Locaux (P.E.L.)
 Le Projet Educatif Local ( PEL ) a pour vocation de renforcer le lien et le partenariat entre les différents opérateurs qui interviennent sur le territoire de la commune afin de d
• Développer et diversifier l'offre d'activités de loisirs pour donner une nouvelle dynamique à la ville, dans le cadre d'un partenariat avec les acteurs locaux
• Encourager la participation des jeunes et de leur famille à la vie locale
• Créer un environnement favorable à la prévention et à la création de lien social en renforçant les structures et en soutenant les initiatives pédagogiques et citoyennes.
• Faciliter l'accès des familles aux activités et services en développant notamment l'information
• Soutien aux projets individuels et collectifs

Alors poursuivons le travail et construisons ensemble une politique de l'Enfance adaptée à notre commune.

LES DEPUTES VOTENT UNE « INDEMNITE VELO »

L’Assemblée nationale vient de maintenir, contre l’avis du gouvernement, son vote en faveur de la création d’une « indemnité kilométrique vélo » à la charge des employeurs pour les trajets des salariés entre leur domicile et leur travail. Ce dispositif vise à faire prendre en charge par les employeurs tout ou partie des frais engagés par les salariés qui viennent travailler à vélo. Elle devrait permettre à terme "de diminuer les dépenses de santé" grâce à ce sport quotidien.
Une expérience  financée par l'Ademe a été tentée et pendant six mois, des entreprises ont versé 25 centimes d'euros par kilomètre parcouru aux salariés qui venaient travailler à vélo. Le nombre de ces derniers a doublé,
voir résume le ministère de l'Ecologie
Alors faut-il indemniser les salariés qui viennent travailler à vélo, au même titre que ceux qui utilisent les transports en commun ou leur voiture?
C'est un problème de santé publique, pointé par l'OMS: les Français ne bougent pas assez. Pour contribuer à y remédier, le ministre délégué aux Transports Frédéric Cuvillier avait 
présente  son plan vélo et marche. Vingt-cinq mesures destinées à favoriser une activité physique régulière. D'après un rapport sur les avantages sanitaires du vélo rendu au ministère du développement durable sa pratique régulière réduit les risques de maladies coronariennes, de maladies vasculaires cérébrales, de diabète, du cancer du sein et du côlon. Trois millions de français utilisent déjà le vélo en tant que mode de déplacement quotidien, et 17 millions l'utilisent au moins une fois par semaine.
En attendant le dénouement nous ne pouvons qu'encourager toutes personnes à se déplacer en vélo si les conditions de circulation le permette.

lundi 4 mai 2015

MOUSTIQUE TIGRE


 
 
 
« Depuis 2012, le moustique-tigre est présent en métropole. Vecteur du virus de chikungunya et de la dengue, l’insecte est l’objet d’une campagne de surveillance à partir du 1er mai. 

Le moustique-tigre, présent en France depuis 2012, est un vecteur des virus du chikungunya et de la dengue. Pourtant, le risque de contracter l'une des deux maladies pour l’être humain est faible puisque le moustique ne peut transmettre le virus que s’il a piqué, au préalable, une personne déjà infectée. Par ailleurs, le virus ne se transmet pas de personne à personne et la France métropolitaine ne connaît pas d’épidémie de chikungunya ni de dengue.

Pourtant, à partir du 1er mai, et dans l’optique d’éviter sa multiplication, le moustique-tigre fait l’objet d’une surveillance accrue, notamment en Haute-Garonne, l’un des 20 départements déjà colonisés par l’insecte depuis 2012.

Un plan de surveillance

Le plan de surveillance mis en place en Haute-Garonne comprend une page internet ouverte aux particuliers, http://www.signalement-moustique.fr, une surveillance des cas humains suspects de dengue ou de chikungunya et une information pour les voyageurs qui se rendent dans les départements colonisés.

Et des gestes simples

Chacun peut néanmoins lutter personnellement contre la prolifération du moustique-tigre. Quelques bons comportements s’avèrent très efficaces.

- Eliminer les endroits où l’eau peut stagner : pneus usagés, encombrants, etc.

- Changer l’eau des plantes une fois par semaine et éviter les soucoupes sous les pots de fleurs ou sous les plantes.

- Vérifier le bon écoulement des eaux usées et nettoyer régulièrement les gouttières.

- Couvrir les réservoirs d’eau avec une moustiquaire ou un simple tissu.

- Couvrir les piscines hors d’usage.

- Débroussailler et tailler les herbes hautes.

- Elaguer les arbres.

- Ramasser les fruits tombés et les débris végétaux.

- Limiter l’arrosage et bien entretenir son jardin. »

Lu dans la presse

VIDEOPROTECTION AUX ABORDS DES COMMERCES


 
                      
Vidéoprotection aux abords des commerces : le décret est paru

Lu dans revue mairie-info

« Un décret paru ce matin au Journal officiel fixe les règles en matière d’installation de caméras de vidéoprotection aux abords des commerces.
On se rappelle (lire
Maire info du 16 avril 2014) qu’une disposition de la loi sur le commerce et l’artisanat du 18 juin 2014 autorise, pour la première fois dans le pays, des personnes privées à poser des caméras sur la voie publique : certains commerçants considérés comme « particulièrement exposés » aux agressions et vols, comme les buralistes ou les pharmaciens, ont désormais le droit de placer des caméras « aux abords immédiats » de leur magasin. En 2011, le gouvernement avait déjà tenté d’introduire une telle possibilité dans la loi Loppsi 2, mais sans succès – le Conseil constitutionnel ayant refusé cette mesure. En 2014, en revanche, le Conseil n’y a rien trouvé à redire.
Afin, toutefois, de cadrer le dispositif, plusieurs règles strictes ont été inscrites dans la loi : l’installation ne peut se faire qu’après «
information du maire et autorisation des autorités publiques compétentes » (en l’occurrence le préfet de département, après avis de la commission départementale de vidéoprotection) ; et le visionnage des images ne peut, en aucun cas, être fait par le commerçant lui-même ou par une personne privée. L’article 252-2 du Code de sécurité intérieure est formel : « Le visionnage des images ne peut être assuré que par des agents de l'autorité publique individuellement désignés et habilités des services de police et de gendarmerie nationales » – ce qui exclut clairement, soit dit en passant, les policiers municipaux du dispositif.
Le décret d’application paru ce matin précise et durcit les règles : lorsque la demande est envoyée au préfet, doivent être joints au dossier une copie de la lettre informant le maire et « 
une attestation de l’installateur certifiant que la ou les caméras sont déconnectées des caméras intérieures et que les images qu’elles enregistrent ne peuvent être techniquement visionnées par le demandeur ». Un plan de détail doit également être fourni, « montrant la zone couverte par la ou les caméras », prouvant que leur champ de vision est « limité aux abords immédiats du bâtiment en cause ».
Le décret introduit une nouveauté : alors que la loi ne parlait que des abords des commerces, il sera également possible d’en installer «
aux abords des lieux où sont entreposés les biens ou marchandises » – donc, peut-on supposer, à proximité d’entrepôts ou autres lieux de stockage ou de logistique. »

JOURNEE TAURINE DU 1er MAI

Malgré un temps peu agréable, le concours d'attrapaïres a pu se déroulé et a permis la réalisation d'un agréable spectacle pour le nombreux public présent.
Un grand merci à tous les participants et au club taurin de SALINDRES pour cette spectaculaire journée